UN RACISTE PORTE PLAINTE POUR HARCÈLEMENT CONTRE SON IDÉOLOGIE
Le tribunal judiciaire de Blois doit traiter ce jour même une nouvelle accusation de harcèlement moral. Cependant, le motif de cette affaire est un tantinet ironique puisqu’elle concerne un raciste portant plainte contre des membres de l’association de la Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA) qui le harcèlent depuis qu’il a avoué son idéologie politique et sociale.
Les événements ont débuté il y a quelques mois lorsque Jules Lefebvre, gestionnaire de portefeuille, a discuté « politique » avec des collègues (chose à ne jamais faire) pendant une pause méridienne. Le sujet est venu de fil en aiguille au cours de la discussion. Il avoua qu’il n’aimait pas les étrangers et les Français de couleur de peau différente du blanc bec pour des croyances personnelles. Pas de chance, puisqu’une de ses collègues faisait partie de la LICRA et répand l’information aux autres membres dont certains envoient depuis des messages de haines et des menaces de mort à Jules Lefebvre. Après plusieurs semaines de souffrances, il décide d’en parler à la police qui lui a permis de porter plainte.
La question essentielle est de savoir si Jules Lefebvre a commis des actes répréhensibles en lien avec son opinion personnelle. Ce dernier a avoué qu’il n’en est rien. Nous avons insisté en lui disant « Allez… Jamais un petit passage à tabac ou une agression verbale ? Entre nous… » et que nenni, rien, nada, le néant. Son casier judiciaire est vierge et son image est parfaitement « clean ». Pas de quoi faire un scandale. Ce n’est même pas drôle. En revanche cela confirme bien son innocence puisqu’il est légal d’avoir une opinion controversée tant qu’elle reste dans le cadre personnel.
Les agresseurs ont réagi à cette affirmation et leur réponse ne joue pas en leur faveur puisqu’ils ont publiquement avoué qu’ils extermineraient la planète entière pour que le monde soit en paix sans la moindre discrimination raciale. Dans un certain sens, il est vrai que le racisme disparaîtrait avec cette méthode. Mais cela n’a pas plu aux média ni aux administrateurs de la LICRA qui ont immédiatement exclu les fautifs affirmant que « ce n’est pas gentil d’être méchant » et se sont détachés de cette affaire. Nous attendons maintenant de savoir qui va remporter le procès : équipe raciste contre équipe génocide ; il n’y en a pas un pour sauver l’autre !
